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NPA 27 -  Eure

presidentielles2022

À PROPOS DE LA CANDIDATURE DE LA NUPES DANS LA 4eme CIRCONSCRIPTION:

23 Mai 2022 , Rédigé par NPA 27 Publié dans #Présidentielles2022

À PROPOS DE LA CANDIDATURE DE LA NUPES DANS LA 4eme CIRCONSCRIPTION:

Alors que Philippe Brun, investi par la NUPES dans la 4eme circonscription de l'Eure, vient de lancer sa campagne, nous publions ici la déclaration que les représentants du NPA aux discussions unitaires ont faite le 12 mai pour expliquer en quoi la démarche de dépassement de la LFI était politiquement juste et pourquoi nous ne nous reconnaissons pourtant pas dans cette candidature  :

Le NPA s'est engagé, dès l'invitation de LFI, dans les discussions pour trouver un accord autour du programme de l'Union populaire. Nous avons ainsi reconnu le travail efficace fait par les militants et militantes de LFI dans la campagne présidentielle qui a permis non seulement à Jean Luc Mélenchon d'obtenir 22% des suffrages, mais aussi de mobiliser les jeunes, les classes populaires et dans les quartiers, là où depuis longtemps l'abstention domine.

Le bon score de JLM est un levier pour reconstruire, à gauche, une vraie opposition à Macron et à l'extrême droite, mais aussi pour mettre sur pied un projet émancipateur, social et écologique qui réponde aux enjeux et aspirations qui s'expriment dans le pays, dans les élections et dans les luttes.

Le NPA a accepté les règles fixées par LFI et 4 camarades ont discuté au cours de 5 réunions. LFI a proposé dès le départ une base de programme qui nous convenait (retraite à 60 ans, abrogation loi El Khomri...) et 13 circonscriptions dont 2 éventuellement « gagnables ». Avoir 2 députés sur 577 nous convenait.

Une majorité de camarades du NPA s'est investie, localement, comme nous ici, dans des réunions unitaires pour échanger sur la situation, pour chercher à construire des candidatures possiblement victorieuses, sur la base du programme de LFI. Nous avons même accepté que le national dicte ses conditions de répartitions, si c'était le prix à payer pour avoir une union pour gagner.

Au fur et à mesure du temps, les discussions ont changé. L'arrivée du PS dans le cercle des négociations a modifié le fonds de la discussion. Sans retour critique sur le quinquennat Hollande et la politique menée, un minimum auquel on se serait attendu pour donner des garanties sur la sincérité des intentions et chasser tout soupçon de manœuvres électoralistes pour sauver un groupe un l'assemblée, le PS a poussé LFI « sur la droite » et fait modifier certains points de l'accord qu'il a signé. Exemples sur les retraites, sur la désobéissance aux traités européens, sur le SMIC... Nous regrettons que l'accord signé entre EELV, le PCF et LFI ait été modifié. Nous regrettons que LFI ait changé ses propositions concernant le NPA. De 13 circonscriptions dont 1 gagnable en Gironde nous sommes arrivé.es à 5 circonscriptions dont aucune gagnable. La proportionnelle pour la répartition des circonscriptions qui devait s'appliquer fut abandonnée à notre détriment, en revanche à l'avantage du PS . C'est un signal qui nous a été lancé et nous l'avons pris comme tel.

C'est avec un grand regret que le NPA a décidé de quitter l'accord national, vu son évolution. Néanmoins, nous nous sommes engagé.es à appeler à voter et soutenir, y compris de façon militante, les candidat.es de gauche de rupture de la NUPES, face auxquels nous ne présenterons pas de candidat.es. Philippe Brun n'est pas ce candidat. Un jour il s'affiche « sans étiquette », le lendemain il se dit « de gauche » sachant bien que ça ne garantit rien (voir le PS au gouvernement), il n'incarne pas la candidature de rupture avec le social-libéralisme que nous combattons. Il dit ne pas être au PS, mais est assis au premier rang avec l'équipe de campagne d'Anne Hidalgo lors de son allocution le soir du premier tour et s'affiche, dès l'investiture obtenue, avec un Marc-Antoine Jamet qui n'en finit plus de dire pis que pendre sur un accord pourtant favorable au PS. Nous nous interrogeons sur les démarches entreprises avec l'aide de la direction du PS auprès de LFI pour réussir à être désigné candidat d'un territoire où il était inconnu il y a 3 ans.

Ici dans l'Eure, au-delà des législatives, nous nous engageons à participer à toute démarche et action de construction d'une vraie opposition sur le terrain, à prendre notre part dans les discussions pour bâtir un barrage contre les politiques de droite. La politique a besoin de renouveau. Les enjeux de notre époque ne nous autorisent pas à prendre de demi-mesures, mais au contraire à exiger un vrai changement de nos modes de production et de consommation. Cela passe, selon nous, par un changement de système économique, social et politique. Les aspirations sur le terrain sont fortes, nous sommes ouvert.es pour travailler à réunir celles et ceux qui s'engageront dans cette bataille.

Le NPA Seine Eure

 

 

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MACRON RÉÉLU, LE COMBAT CONTINUE!

24 Avril 2022 , Rédigé par NPA 27 Publié dans #Présidentielles2022, #Politique

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CINQ ANS DE PLUS, CINQ ANS DE TROP : LA RISPOTE DOIT S'ORGANISER, UN PROJET ÉCO-SOCIALISTE DOIT ÉMERGER, MAINTENANT.

24 Avril 2022 , Rédigé par NPA 27 Publié dans #Présidentielles2022, #Politique

CINQ ANS DE PLUS, CINQ ANS DE TROP : LA RISPOTE DOIT S'ORGANISER, UN PROJET ÉCO-SOCIALISTE DOIT ÉMERGER, MAINTENANT.

Ce sera donc un second mandat pour Macron. C'est bien sûr une très mauvaise nouvelle pour notre camp, celui de celles et ceux qui prennent déjà de plein fouet la politique antisociale et brutale de Macron ou qui se soucient des urgences environnementales. Bien sûr, la macronie ne finit déjà plus de s'auto-congratuler, en prenant bien soin d'omettre d'évoquer la faible participation qui traduit le rejet de la politique menée depuis cinq ans et le rejet de la personne même du président réélu.Les électeurs dont le vote ne s'était pas porté sur Macron dès le premier tour l'ont fait sans grand enthousiasme et pour certains les dents serrées, pour que le pays ne bascule pas dans un régime néo-fasciste à la Orban ou à la Bolsonaro.

Ce résultat est tout sauf un plébiscite. Maintenant que Le Pen a été battue dans les urnes, il va nous falloir oeuvrer à la construction d'un front de résistance, dans les urnes à l'occasion les législatives, mais aussi dès que possible sur nos lieux de travail et dans la rue, pour empêcher Macron de poursuivre son entreprise de destruction des services publics, de la protection sociale et d'inaction climatique. Au sortir du premier tour, le faible écart entre Le Pen et Macron a fait apparaître une incertitude chez ce dernier, l'obligeant à formuler le souhait de confier au ou à la premier ministre la responsabilité de la planification écologique. Sur les retraites, des discussions s' avèrent soudainement possibles. Si nous savons que sa parole ne vaut rien, sauf quand il s'agit de mener une politique en faveur des riches, soyons forts de notre nombre et de notre détermination à faire vaciller la présidence.

La tâche sera ardue, la perspective de gagner incertaine, mais c'est bien la seule opportunité de faire naître un autre projet de société, avec un vrai système démocratique, une répartition des richesses équitable, une société débarrassée des discriminations et du racisme, qui respecte le vivant au sens large et fait de la sauvegarde du climat et de l'environnement une priorité absolu.

Le NPA27 appelle en ce sens à une assemblée de gauche, démocrate, sociale et écologique.

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DÉCLARATION DE PHILIPPE POUTOU AU SOIR DU 1er TOUR

11 Avril 2022 , Rédigé par NPA 27 Publié dans #Poutou2022, #Présidentielles2022

DÉCLARATION DE PHILIPPE POUTOU AU SOIR DU 1er TOUR

Nous tenons tout d’abord à remercier les électeurs et électrices qui ont choisi de voter pour nous. Par ce vote, ils et elles ont porté leur suffrage sur un ouvrier licencié, quelqu’un qui leur ressemble. Il et elles ont voulu exprimer le rejet d’un capitalisme qui mène l’humanité droit dans le mur, source de crises écologique, sanitaire, sociale et démocratique. Ils et elles ont voulu affirmer que le changement se fera par en bas, par les mobilisations et en rompant avec ce système.

Nous savons aussi que bien d’autres se sont reconnus dans notre candidature mais ont préféré glisser un autre bulletin dans l’urne, espérant « voter utile ».

Comme en 2017, Macron et Le Pen sont donc qualifiés à l’issue d’une non-campagne. L’élection présidentielle est déjà particulièrement antidémocratique, cette campagne en a été la caricature, la parole étant confisquée par la droite et l’extrême droite, particulièrement par Macron. À aucun moment de cette campagne, celui-ci n’aura voulu rendre de comptes sur la politique menée ces cinq dernières années, une politique particulièrement antisociale et autoritaire.

Le taux d’abstention, en augmentation, marque la défiance de la population vis-à-vis du pouvoir de Macron. Sans parler des étrangers, privés de droit de vote et de pouvoir peser sur la politique du pays où elles et ils habitent et travaillent.

Le désaveu de ce quinquennat profite hélas à l’extrême droite. Nous le mesurons aujourd’hui : Macron n’est en rien un rempart contre l’extrême droite. Pire, sa politique la nourrit quand il s’attaque aux conditions de vie des salariéEs et des chômeurs, quand il chasse, avec Darmanin, les migrantEs et les sans-papiers, quand il réprime violemment les manifestations, comme celles du mouvement des Gilets jaunes...

C’est peu dire que le climat politique de ces derniers mois a pesé sur les urnes. Les questions sociales sont prégnantes, comme la nécessité d’augmenter les salaires et l’ensemble des revenus face à la dégradation des conditions de vie du plus grand nombre. Mais ce sont bien les thèmes de l’extrême droite qui se sont imposés, en particulier sous la pression de Zemmour. Préfigurant un projet fasciste, celui-ci a infusé de ses idées dégueulasses toute la campagne à droite et à l’extrême droite.

Zemmour aura entre autres servi à relativiser le danger représenté par Le Pen alors qu’elle n’a jamais été aussi proche du pouvoir. Pourtant, tous les deux représentent les deux visages d’un projet politique ultra-autoritaire, au service des capitalistes, visant à mettre au pas l’ensemble de la population. Le Pen est un poison car, par le racisme, elle cherche à attiser la haine contre les populations immigrées et d’origine immigrée, et la division, visant à les surexploiter et à détourner les salariéEs de vrais responsables des crises, du chômage et de la misère.

Le score de Le Pen et la crise politique qui confirment le rejet des partis traditionnels de gauche et de droite, nous montrent l’urgence de reprendre nos affaires en main, de nous mobiliser. Et ce n'est pas d’un « front républicain » conduit par Macron dont nous avons besoin, mais de construire une large mobilisation contre Le Pen, Zemmour et tous leurs alliés. Quel que soit le résultat du second tour, nous devons nous préparer à défendre nos intérêts et nous battre dans les entreprises et les quartiers, contre l’exploitation et toutes les formes d’oppression. Le week-end des 16 et 17 avril doit être marqué par des manifestations massives dans tout le pays contre l’extrême droite et les politiques libérales et autoritaires qui le nourrissent. Une mobilisation qui doit commencer dès demain dans les quartiers populaires, sur les lieux de travail, dans la jeunesse, partout où c’est possible.

Dimanche 24 avril, beaucoup voudront faire barrage au RN en votant Macron. Nous partageons la volonté de rejeter le danger mortel pour tout progrès social et pour l'ensemble des droits que représenterait l'arrivée au pouvoir de Marine Le Pen, tout particulièrement pour les populations immigrées et d’origine immigrée ou les personnes LGBT. Notre consigne de vote est claire : pas une voix ne doit aller à l’extrême droite. Pour autant nous ne donnerons pas de consigne de vote en faveur de Macron, car c’est un pompier pyromane dont les politiques sont une des causes de la montée du RN. Macron n’est en rien un rempart contre l’extrême droite qui a progressé durant son quinquennat.

Pour faire reculer durablement ce péril, il n'y a pas d'autre solution que de lutter, contre l'extrême droite mais aussi contre toutes celles et ceux qui, comme Macron et tous ceux qui l’ont précédé, ont mis en place ou veulent imposer des mesures antisociales. Cela passe aussi par la reconstruction d’un projet d’émancipation pour les classes populaires.

Toutes tendances confondues, la gauche se maintient comme en 2017 à un niveau très bas. Les prochains mois vont être difficiles, on le sait déjà, et plus que jamais, nous avons besoin d’unir notre camp social et ses organisations pour y faire face.

Ce camp social n’est pas sans ressources. Ces dernières années ont été marquées par le mouvement des Gilets jaunes, la mobilisation contre la réforme des retraites, une multitude de grèves ouvrières éclatées et de mobilisations d’une partie de la jeunesse. Ces derniers mois ont été marqués par des luttes pour les salaires. Les capacités de résistance de notre camp social existent et lui permettent de se faire craindre.

Nous nous adressons avant tout à l’ensemble de la gauche sociale et politique, aux syndicats, aux associations et collectifs écologistes, antiracistes, féministes, LGBTI, ainsi qu’aux forces politiques : nous avons besoin de nous rencontrer pour discuter des initiatives possibles pour changer la donne.

L’urgence est d’abord de construire un front commun et durable contre l’extrême droite. Un front unitaire antifasciste articulant mobilisations de rue et batailles idéologiques.

Nous avons aussi besoin d’organiser la coopération et la coordination, de trouver des moyens d’actions autour d’un programme d’urgence commun pour les luttes. Cela commence par la riposte unitaire contre l’offensive annoncée de Macron sur la retraite à 65 ans, ou pour mobiliser en faveur des salaires.

Enfin, comme nous l’avons fait durant cette campagne, nous voulons nous adresser particulièrement à toutes les « orphelines » et « orphelins » d’une gauche de combat, à tous les anonymes, les militants ou les sympathisants, organisés ou non, à toutes celles et ceux auprès desquels notre campagne a trouvé de l’écho, et aux directions des différentes forces politiques à gauche. La « vieille gauche », gestionnaire du capitalisme, s’est écroulée, et nous ne la pleurerons pas. Il faut reconstruire une force politique anticapitaliste, antifasciste, féministe, écologiste, antimilitariste, anticolonialiste et internationaliste, pour la transformation révolutionnaire de cette société. Cela nécessite un débat dans l’ensemble du mouvement social, du mouvement ouvrier, avec tous les courants et forces qui aspirent à un tel projet. C’est nécessaire et c’est urgent.

Ces prochaines semaines, ces prochains mois, nous allons donc avoir besoin d’échanger, de débattre, de confronter, de tirer les bilans, pour essayer de construire ensemble. Construire les mobilisations contre les attaques qui se dessinent, mais aussi un nouvel outil politique : un parti pour tous les exploitéEs et les oppriméEs.

Nous ne pouvons plus attendre.

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L'ANTICAPITALISTE, L'ÉMISSION #46: FOCUS SUR 6 AXES DE CAMPAGNE

7 Avril 2022 , Rédigé par NPA 27 Publié dans #Poutou2022, #Environnement, #Présidentielles2022

Dernière émission de campagne! Dès lundi, c'est dans la rue que ça se passera, mais dimanche, c'est direction le bureau de vote!

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ESQUIVER LE DÉBAT, LA STRATÉGIE LREM À LOUVIERS COMME SUR LES PLATEAUX!

26 Mars 2022 , Rédigé par NPA 27 Publié dans #Politique, #Présidentielles2022, #Environnement

ESQUIVER LE DÉBAT, LA STRATÉGIE LREM À LOUVIERS COMME SUR LES PLATEAUX!

La REM tenait meeting à Louviers ce samedi matin en soutien à Macron et c'est tout naturellement qu'une quarantaine de personnes, dont des adhérents de NON à l'Autoroute et élus mobilisés contre l'A133, des militants du NPA Seine-Eure et même des gilets jaunes venus de Evreux ou de Rouen, a mis un point d'honneur à être présents pour interpeller les têtes d'affiches et ministres d'Etat Bruno Lemaire, Sébastien Lecornu et Julien Denormandie à quinze jours du scrutin, tellement leur politique anti-sociale, économique et environnementale n'ont pas répondu aux attentes et vont même à l'encontre des besoins de l'immense partie de la population et de la nature.

Courageux pour faire les gros yeux sur les plateaux télé, prenant un ton de circonstance pour stigmatiser les chômeurs ou les bénéficiaires de prestations sociales, mais pas téméraire pour assumer les millions jetés par les fenêtres du cabinet de conseil McKinsey, chargé d'organiser la casse de la protection sociale et des services publics pour mieux les livrer au marché, Bruno Lemaire se sera dérobé... Denormandie, lui, n'aura pas voulu entendre la dénonciation des projets de méthaniseurs industriels qui poussent dans l'Eure comme des champignons (l'un d'eux doit sortir de terre à moins d'un kilomètre de là...) et qui favorisent l'élevage industriel de type concentrationnaire comme à Houlbec-Cocherel où les bêtes sont reléguées au statut d'unités de production d' énergie à travers leurs déjections. Lecornu devait lui avoir gardé un mauvais souvenir de son passage en Guadeloupe...

Toujours est-il que ces messieurs ont préféré emprunté la porte de service plutôt  que de venir se confronter aux manifestants aussi déterminés que pacifiques, de la même manière que Macron refuse toute confrontation avec Philippe Poutou, ayant conscience des plumes qu'y avaient laissées Le Pen et Fillon  en 2017.

C'est leur manière de faire de la politique: feindre de concerter et finalement imposer arbitrairement, s'assurer la loyauté des courtisans et établir une barrière hermétique avec quiconque s'oppose à leur vision productiviste, scientiste et inopérante pour relever le défi de l'urgence climatique. À ce jeu là,  les Leroy et autre Loncle se posent là: Loncle a-t-il oublié que JL Destans, alors président du conseil général PS de l'Eure, a en 2005 promis la mise à l'essai de la gratuité à la sortie 19 de l'A13 à Incarville pendant trois mois? Une vieille revendication de l'association pour la préservation du cadre de vie reprise aujourd'hui par le mouvement contre l'A133-A134. Désormais, cette clique défend l'autoroute payante, que la population payera en réalité 3 fois: à la construction, à l'utilisation et au prix de leur santé, une nouvelle autoroute apportant mécaniquement une dégradation de la qualité de l'air, responsable, rappelons-le, de 48 000 décès prématurés /an . Pourtant, avec ce milliard (mal) investi, on pourrait en faire, des choses: développer le fret ferroviaire et fluvial tout en organisant la réduction des flux de marchandises manufacturées, on pourrait investir dans les transports collectifs de qualité au moment où le prix du litre de carburant atteint des sommets!

Aujourd'hui, ils peuvent emprunter une porte dérobée, mais demain, ils devront bien rendre des comptes sur l'inaction climatique, la liquidation des communs et la répression du mouvement social..., si celui est en mesure de retrouver un souffle et à même d'être suffisamment puissant pour que leur suffisance s'estompe. On le sait, il n'y a rien de bon à attendre du résultat de cette élection. Projetons-nous d'ores et déjà au delà pour organiser la riposte et empêcher le rouleau compresseur macronien d'avancer; que ce soit ici sur la forêt de Bord ou au niveau national sur les services publics et la protection sociale, prochaines cibles déjà clairement identifiées par le président-candidat!

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AVEC MACRON, POUR L'ÉCOLOGIE, ON REPASSERA! (REPORTERRE)

19 Mars 2022 , Rédigé par NPA 27 Publié dans #Présidentielles2022, #Environnement

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