covid
30/10: RASSEMBLEMENT POUR LA LEVÉE DES BREVETS À ROUEN, 15H AU THEÂTRE DES ARTS
10000 morts /j en moyenne depuis le refus de lever les brevets sur les vaccins!
Honte à Macron, Honte à l’Union Européenne, Honte aux brevets !
Plus de 10193 personnes meurent en moyenne chaque jour dans le monde du covid-19, depuis le refus de la demande de levée des brevets sur les vaccins anti-covid à l'Organisation Mondiale du Commerce (l'OMC) par l’Inde et l'Afrique du Sud), le 2 octobre 2020. Pourtant les vaccins existent. Ils ont montré une efficacité de plus de 90% contre les formes graves, et de 98% contre la mortalité. Mais les brevets des capitalistes de Big Pharma privent les pays les plus pauvres de vaccins anti-covid. Trop chers! Pas assez de vaccins! Seulement 2 % des habitants des pays à faible revenu sont complètement vaccinés. Apartheid vaccinal!
La recherche vaccinale a été financée par les subventions publiques, 15 milliards de dollars de la Barda état-unienne, 1,5 milliards de l'UE, 1,3 milliards du gouvernement anglais. Mais les profits sont privatisés, même si cela veut dire priver les pays pauvres de vaccins. 50 milliards de revenus pour Big Pharma et ses vaccins en 2021. Neuf nouveaux milliardaires en dollars ont accumulé leurs richesse en 2021 grâce à cet apartheid vaccinal.
La levée des brevets, les transferts de technologie ouvriraient la possibilité de monter rapidement des chaines de production dans de nombreux pays.
Si nous n’imposons pas la levée les brevets, non seulement les morts du covid vont se multiplier, mais le risque d'apparition de variants qui échapperont aux vaccins va se multiplier. Ruinant tous les efforts de vaccination. La pandémie ne connait pas de frontières, nous sommes tous solidaires.
Le gouvernement français d’Emmanuel Macron, comme l’Union Européenne, s’opposent à la levée des brevets. Le 30 octobre lors du G20 à Rome, les 30 novembre-1er décembre lors de la réunion de l’Omc, partout dans le monde, journée de la honte pour ceux qui défendent l’apartheid vaccinal et les brevets.
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Signez les pétitions (ci-après)
Brevets sur les vaccins anti-covid, stop. Réquisition !
Brevets sur les vaccins : stop ! * Tous les vaccins autorisés doivent devenir "biens communs "de l'humanité ! * Réquisition des entreprises pour la production des vaccins et des traitements ...
https://www.wesign.it/fr/sante/brevets-sur-les-vaccins-anti-covid-stop-requisition-
Pétition en ligne pour la levée des brevets:
Pas de profit sur la pandémie ! Signez maintenant!
La COVID-19 se propage comme un feu de forêt. Les solutions doivent se propager plus rapidement encore. Personne n'est en sécurité tant que tout le monde n'a pas accès à des traitements et des...
Pétition en ligne pour la levée des brevets:
MACRON, VACCINATION, PASS SANITAIRE: POUR UNE ALTERNATIVE AU LIBÉRALISME AUTORITAIRE (REVUE CONTRETEMPS)
Macron, la vaccination et le pass sanitaire : pour une alternative au libéralisme autoritaire
" La crise sanitaire n'est pas derrière nous, très clairement, nous allons vivre encore plusieurs mois avec ce virus ". Ces propos d'Emmanuel Macron, le 11 aout 2021, prenaient acte des limites e...
https://www.contretemps.eu/macron-covid-pass-sanitaire-vaccination-capitalisme-autoritarisme/
Article écrit par Jean-Claude Laumonnier, Hospitalier à la retraite et membre de la commission santé du NPA
PEU DE CAROTTE ET SURTOUT DU BÂTON !
15 septembre : c'est aujourd'hui l'entrée en vigueur de l'obligation vaccinale (au moins une dose et la seconde d'ici le 15 octobre) pour les salarié.e.s et personnels des établissements de soins, mais aussi pour les pompiers ou agents de la sécurité civile. Pour celles et ceux qui ne souhaiteraient pas s'y soumettre, celles et ceux qu'on désigne comme des « récalcitrants » pour mieux nier leur(s) motivation(s) légitime(s) à refuser l'injection, ils encourent mise à pied et sanctions financières, voire perte de leur emploi.
Localement, des foyers de résistance, sur le lieu de travail ou à l'extérieur, tentent d'organiser leur protection .
La menace et la contrainte sont décidément deux constantes dans l'exercice du pouvoir par Macron, principe qu'il entend également appliquer à la réforme de l'assurance chômage. Contraindre, rendre plus difficile l'accès à l'indemnisation, faire baisser son montant et sa durée pour « inciter à la reprise du travail ». Cette insupportable rhétorique repose sur le vieux mythe de la droite d'une assurance chômage trop généreuse et favorisant l'oisiveté. C'est une insulte aux privé.e.s d'emplois, la négation de l'angoisse que constitue l'incapacité à se projeter dans le lendemain, la négation de ce que la perte d'un emploi suite à un mal nommé PSE (Plan de Sauvegarde de l'Emploi) peut entraîner comme traumatismes et le parcours du combattant pour retrouver un emploi stable et correctement rémunéré, parce que, non, on ne trouve pas un travail simplement en traversant la rue !
Retoquée par deux fois par le conseil d'Etat, cette contre-réforme de l'assurance chômage n'est pour autant pas enterrée, au contraire. Il se prépare un tour de passe-passe : la signature d'un décret début octobre avec un timing calculé de sorte d'empêcher une riposte juridique par les syndicats. Déjà dans son allocution du 12 juillet, Macron en avait fait une priorité, un impératif. Sûrement pas pour servir l'intérêt général, mais, parce que le temps est compté pour lui : il lui faut répondre à la nécessité de donner des gages de crédibilité à la droite et à la bourgeoisie dans la perspective de sa réélection. Idem pour la réforme des retraites. Le prix à payer est la mise dans la panade de milliers d'allocataires de l'assurance chômage. Plus cynique, il n'y a pas.
La réalité est une raréfaction tendancielle du nombre d'emplois disponibles, même si certaines secteurs ont du mal à recruter. Aller chercher du côté de la pénibilité ou du faible niveau des salaires permettrait d'ailleurs de trouver un début d'explication...?n En Allemagne, la même logique a été poursuivie il y a une quinzaine d'année par le gouvernement social-démocrate de Gerhard Schröder. Résultat : la multiplication des mini-jobs et une paupérisation grandissante parmi le salariat le plus précaire et donc fragilisé. Avec quinze ans de recul et de crises successives, on peut vite arriver à la conclusion que cette contre-réforme de l'assurance chômage ne vise qu'à pressuriser encore plus les demandeurs d'emplois et à faire courber l'échine aux salarié.e.s à qui pourraient revendiquer de meilleurs salaires ou de meilleures conditions de travail, parce que aux portes des entreprises, l'armée de réserve du travail (les chômeurs) sera sur les rangs.
Le NPA, lui, milite depuis sa création pour une répartition du travail à travers la réduction du temps de travail jusqu'à l'éradication du chômage et pour une loi d'interdiction des licenciements avec continuité du salaire. Assez qu'une partie d'entre nous croule sous le boulot pendant que les autres n'en ont pas!
Dès fin Août, l'intersyndicale a fait le choix d'une journée de mobilisation interprofessionnelle le 05 Octobre pour coller au calendrier défini par le gouvernement. On aurait pu imaginer de lancer rapidement un mouvement dès septembre pour lier les questions du refus de la vaccination imposée qui a occupé l'été aux attaques contre les salarié.e.s. Un autre choix a été fait. Gageons que la colère bien présente dans la société se transforme en combativité, faisant de cette journée une réussite, et obligeant les centrales syndicales à poser rapidement dans le paysage autre chose que des journées d'action sans lendemain, sans efficacité. Une course de vitesse, dont la liquidation de la protection sociale est l'enjeu, est lancée d'ici le printemps 2022. Le mouvement social est prévenu.
POUR LA LEVÉE DES BREVETS SUR LES VACCINS! ATELIER À L'UNIVERSITÉ D'ÉTÉ DU NPA
Parmi les conditions nécessaires pour rétablir la confiance dans les vaccins contre le COVID-19, c'est de sortir sa production de la logique de profit. Cela passe par une levée des brevets et une socialisation de leur production et une contrôle par la population elle-même.
LE MOUVEMENT "ANTI-PASSE" ET LA GAUCHE A UN TOURNANT?
Le mouvement contre le passe sanitaire qui a émergé au début de l'été semble marquer le pas au vu du nombre de participants annoncé pour le week-end dernier.
Les pressions exercées sur les salariés des secteurs concernés par l'obligation vaccinale, les tests qui vont devenir payants en sont une possible explication. Une autre est peut-être que les centrales syndicales n'ont pas su ou souhaité lier la question sociale à la question sanitaire et vaccinale en établissant une jonction avec les manifestants du samedi. Il est à ce titre regrettable que l'intersyndicale de la semaine dernière n'ait annoncé une date de mobilisation interprofessionnelle que pour le 05 octobre au lieu de profiter de la dynamique et de mettre la pression sur le gouvernement dès maintenant...
La situation reste très hétérogène sur le territoire et la nature ayant horreur du vide, là où les forces de la gauche progressiste et de combat ne sont pas présentes ou pas suffisamment fortes, ce sont les franges de la droite parfois la plus extrême qui s'affichent sans complexe, comme à Annecy, où les néo-nazis du groupuscule « Edelweiss » ont défilé en tête de cortège avec banderole. Gardons à l'esprit que nous sommes lancés dans une course contre la montre contre l'extrême-droite et la colère légitime qui traverse la société en réaction aux mensonges gouvernementaux depuis 18 mois et à leur politique antisociale, menée pour satisfaire les intérêts d'une minorité et certainement pas l'intérêt général, cette colère peut cristalliser de la meilleure comme dans la pire des manières. L'intervention de militants anticapitalistes comme à Besançon, le fait de mettre en lien arbitraire du passe sanitaire et tentative de mise au pas du monde du travail que Macron a déjà entamé sous Hollande et comme nous tentons avec d'autres de le faire dans l'Eure est un garde-fou pour éviter que les fachos fassent leur nid dans les manifs.
A PROPOS DES MANIFESTATIONS CONTRE LE PASSE SANITAIRE:
Les manifestations du samedi contre le passe sanitaire se succèdent depuis maintenant six semaines. C'est un fait politique marquant, en pleine trêve estivale. Pour la deuxième manif à Evreux à l'initiative du CLRR27*, le 21 Août, environ 250 manifestants ont défilé, motivés en premier lieu par le rejet de la politique macronienne, de l' autoritarisme qu'il incarne et du flicage de la société qu'il veut mettre en place et renforcer avec ce passe sanitaire, dans la droite ligne de la loi sécurité globale.
Dans un cortège populaire et très féminin, la question du libre choix de la vaccination est dans beaucoup de bouches ainsi que le slogan « Liberté, liberté ! ». Il serait trop facile de considérer qu'il ne s'agit, en bloc, que d'une revendication individualiste, une défense égoïste de SA liberté : grosso modo faire comme bon me semble, au mépris de la santé publique et du bien commun. Si le passe sanitaire est vécu comme une agression, c'est bien parce qu'il délimite une ligne de fracture au sein de la population : celle qui va au restaurant ou pas, celle qui prend le TGV ou le TER... Le passe sanitaire est à l'image de la conception de la politique de Macron au service, non pas de l'ensemble de la population, mais de sa classe. Macron continue dans le mépris systématique de « ceux qui ne sont rien » et du mouvement des gilets jaunes ou de la lutte contre la réforme des retraites à points. Le gouvernement a enchaîné les bourdes, les mensonges, minimisé la possibilité de l'arrivée du virus en Europe, menti sur les masques, sur les stocks de doses, etc... Sa crédibilité est nulle, la confiance est proche de zéro !
Pour éviter les théories farfelues, il aurait fallu réunir les conditions de la confiance. Les avis scientifiques convergent : la vaccination de tout ou partie de la population française et mondiale est à ce jour le levier le plus efficace permettant le recul significatif de la pandémie. Or, la confiance n'y est pas, surtout dans un pays qui a vécu autant de scandales sanitaires (sang contaminé, l'amiante, le nuage de Tchernobyl qui s'est soi-disant arrêté à la frontière, le médiator...). Pour que la protection des populations soit assurée, la production de vaccins (ou de remèdes), la question de la mise sous contrôle public, sous contrôle de la population et dégagée de la logique de profit doit être posée, comme celle de la réquisition des usines de production des vaccins et des énormes profits du secteur pharmaceutique. Dans les conditions actuelles, aussi cynique cela puisse-t-il paraître, mais c'est le propre de l'intérêt capitaliste, oui, Big-pharma n'a aucun intérêt à ce que la situation s'améliore.
La question qui taraude la gauche est, comme lors de l'émergence du mouvement des gilets jaunes, de savoir s'il faut se rendre à ces manifestations ou pas. Un mouvement spontané, bien calibré, clé en main est une vue de l'esprit. Certes, la situation est confuse, mouvante, mais laisser la place reviendrait à se résigner à ce que le pire des positionnements y prenne racine et s'y développe, le n'importe quoi droitier ou pire, l'extrême-droite structurée et avec une feuille de route bien établie et mortifère pour le camp de opprimé.e.s. Soyons donc présents le samedi dans les cortèges pour agir et militer sans ambiguité en faveur de la vaccination de toutes et tous, du maintien des « gestes barrières », mais aussi de la levée des brevets et du déploiement d’une politique sanitaire pour garantir un meilleur niveau de santé publique, ce qui implique des (re)créations massives d'emplois à l'hôtal, dans le EPHAD et par extension, dans tous les services publics! Mais aussi, pour exiger des moyens pour préserver la santé, et ça commence par assurer une bonne alimentation, diminuer la pollution de l'air (48 000 décès par an), de l'eau et des sols, arrêter de déforester et d'attaquer la biodiversité (bons remparts contre les virus), de bétonner les sols (comme le dernier Ecoparc 4 à Vironvay, l'extension du péage d'Heudebouville, le faux contournement de Rouen) de stopper les élevages industriels où les bêtes sont ou des usines à gaz pour méthaniseurs géants (comme à la Haye le Comte) ou de la chair pas chère (comme à Houlbec Cocherel avec le projet de ferme usine de 1 300 bovins) . Rappeler aussi que l'émergence de nouveaux virus est amenée à se reproduire, à se multiplier (ne serait-ce qu'avec la fonte de la calotte glacière et du permafrost) si la question climatique ne devient pas une préoccupation fondamentale de toute politique publique, ce qui est incompatible avec la logique capitaliste. Il faudra donc bien en sortir.
*Comité Local de Résistance et de Reconquête des acquis de 36 et 45 de l’Eure, regroupement de militants syndicaux et de gilets jaunes.
LE MEILLEUR REMÈDE À LA POLITIQUE DE BLANQUER : LA MOBILISATION !
Le ministre Blanquer tient sa mesure phare : les élèves de collèges et lycées non-vaccinés seront exclus en cas de contamination avérée dans leur classe et devront suivre les cours à distance, sans être potentiellement eux-mêmes infectés ! Absurde, injuste, mais ce n’est que la déclinaison du passe sanitaire en milieu scolaire. On peut dire que pour une fois qu’il anticipe,c’est pour annoncer un début d'année difficile, un peu pire que les précédentes. Car bien sûr, rien sur des créations de postes (d'enseignants, de vie scolaire, d'agents) pourtant indispensables. Sa priorité, cette prétendue « mesure de bon sens », n’est qu’un moyen de plus de serrer la vis pour contraindre insidieusement à la vaccination. C’est créer de fait une discrimination de plus pour l'accès au service public, et c’est intolérable. Mais de la part des managers ultra-libéraux aux commandes de l'éducation c’est cohérent: dans leur vision du monde, chaque individu est seul responsable de sa propre formation, de sa réussite ou de son échec. Et donc, si un.e jeune n'est pas vacciné.e, c'est qu'il /elle en a décidé ainsi. Qu’il ou elle en assume les conséquences ! Un scandale de plus, alors qu’on sait bien que l'accès à la vaccination varie en fonction du milieu social. Celles et ceux qui cumulent déjà les difficultés économiques, sociales et culturelles pâtiront forcément le plus de cette disposition inique. Les 5 à 7000 centres de vaccination déployés ne suffiront évidemment pas.
Face au message autoritaire et brutal envoyé à la jeunesse et aux familles, une seule réponse vaut : la participation aux rassemblements dès maintenant, et la mobilisation dès les premiers jours de septembre, pour une garantie d'accès de tou.te.s à un service public de qualité.
PÉTITION: POUR UNE POLITIQUE SOCIALE ET DE SANTÉ JUSTE ET DÉMOCRATIQUE!
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de discriminer à l'embauche, de suspendre le salaire ou de licencier des salarié·e·s, en CDD ou précaires, parce qu’ils·elles ne sont pas vacciné·e·s ?
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de refuser des patient·e·s dans les hôpitaux pour la même raison ?
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d’instaurer un contrôle et une surveillance généralisés sur la population et de diviser la population entre vacciné·e·s et non vacciné·e·s ?
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des moyens financiers et humains bien plus importants dans les hôpitaux publics et les Ehpad, un débat et une information d’ampleur, des possibilités de se faire vacciner sur le temps de travail, une couverture bien plus importante des centres de vaccination et les embauches nécessaires pour permettre des conditions de travail respectueuses des exigences sanitaires ;
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la levée des brevets au sein de l’Organisation mondiale du commerce pour la solidarité internationale et la santé publique ;
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l’abandon des lois et projets sur l’assurance chômage et les retraites.
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Responsables d’organisations : Aurélie Trouvé et Raphaël Pradeau (porte-parole d’Attac), Céline Verzeletti (secrétaire confédérale de la CGT), Simon Duteil et Murielle Guilbert (co-délégué·es généraux de l’Union syndicale Solidaires), Thomas Porte (porte-parole de Génération·s), Delphine Glachant (présidente de l’Union syndicale de la psychiatrie), Pierre Schwob (Collectif Inter Urgences), Mireille Stivala (secrétaire générale de la fédération CGT Santé et action sociale), Jean Marc Devauchelle (secrétaire général de la Fédération SUD Santé Sociaux), Thierry Amouroux (porte-parole du Syndicat National des Professionnels Infirmiers SNPI), Mélanie Luce (présidente de l’UNEF), Sonia Ollivier (co-secrétaire nationale du SNPES-PJJ/FSU), Jean-Baptiste Eyraud (porte-parole Droit Au Logement), Khaled Gaiji (président des Amis de la Terre France), Pierre Khalfa et Willy Pelletier (Fondation Copernic), Emmanuel Vire (secrétaire général du SNJ-CGT), Hafsa Askar (Secrétaire Générale de la FSE), Denis Lalys (secrétaire général de la FNPOS de la CGT), Ana Azaria (présidente Femmes égalité), Lenny Gras (porte parole du MNL), Mathieu Devlaminck (UNL), René Seibel (Action contre le chômage), Christian Eyschen (secrétaire général de la Libre Pensée), Christine Poupin et Olivier Besancenot (porte-parole du NPA), Aneth Hembert (co-secrétaire fédérale des Jeunes Ecologistes), Jean-Christophe Sellin et Hélène Le Cacheux (coordinateurs du Parti de Gauche), Jean-François Pellissier et Myriam Martin (porte parole d’ENSEMBLE !), Christian Pierrel (porte parole du PCOF), Martin Méchin et Louise Tort (Black Robe Brigade), Philippe Poutou (Porte-parole du NPA), Dominique Ferré (Parti ouvrier indépendant démocratique).
Elu·e·s : Éric Coquerel (député LFI), Elsa Faucillon (députée PCF), Eric Piolle (maire EELV), Jean-Luc Mélenchon (député LFI), Sébastien Jumel (député PCF), Emilie Carriou (députée Nouveaux Démocrates), Clémentine Autain (députée LFI), Aurélien Taché (député Nouveaux Démocrates), Mathilde Panot (députée LFI), Pierre Dhareville (député PCF), Caroline Fiat (députée LFI), Manon Aubry (députée européenne LFI), Adrien Quatennens (député LFI), François Ruffin (député LFI), Muriel Ressiguier (députée LFI).
Personnalités : Youcef Brakni (militant antiraciste), Sandrine Rousseau (EELV), Véronique Ponvert (syndicaliste FSU), David Dufresne (écrivain, réalisateur), Caroline Mecary (avocate), Taha Bouhafs (journaliste), Jean-Marie Harribey (économiste), Arie Alimi (avocat), Kevin Vacher et Deborah Ozil (Rencontre des Justices), Anthony Caillé (CGT-Police), Stéphane Jouteux (syndicaliste), Arnaud Malaisé (syndicaliste FSU), Nicolas Mayart (journaliste), Dominique Plihon (économiste), Paul Poulain (spécialiste des risques industriels), Laure Vermeersch (L’ACID), Gilles Perret (réalisateur), Rokhaya Diallo (écrivaine), Claire Lejeune (EELV).
Refusons le projet de loi sanitaire et les régressions sociales
Le pass sanitaire marquera la vie de millions de Français·es, puisqu'en très peu de temps, et encore plus dès lors que le test PCR ne sera plus gratuit, toute vie sociale et professionnelle ser...
TRIBUNE UNITAIRE: REFUSONS LE PROJET DE LOI SANITAIRE ET LES RÉGRESSIONS SOCIALES!
Refusons le projet de loi sanitaire et les régressions sociales (tribune unitaire)
Un collectif de responsables associatifs, d'élus et de personnalités s'opposent à la nouvelle loi étendant le pass sanitaire, discutée ces jours-ci à l'Assemblée. Ils appellent à une mobili...