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NPA 27 -  Eure

Hommage à François Chesnais.

31 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

Nous avons appris avec une grande tristesse le décès survenu le 28 octobre de François Chesnais, âgé de 88 ans. François Chesnais a été un compagnon de route fidèle et précieux dont la pensée clairvoyante et les analyses du capitalisme, selon une grille d’analyse marxiste qu’il a cherché à approfondir, nous ont beaucoup apporté. En tant qu’économiste à l’OCDE, de 1962 à 1992, il a coordonné des travaux sur le rôle de la technologie. Il s’est ensuite particulièrement intéressé à l’industrie de l’armement. Devenu professeur associé à l’Université Paris 13, il a animé des travaux de recherche sur le capitalisme mondialisé et le rôle dominant de la finance, conduisant à la publication en 1994 de La mondialisation du capital, un ouvrage dans lequel il analyse le régime d’accumulation à dominante financière qui se met en place. Il a ensuite coordonné plusieurs ouvrages collectifs, en particulier La mondialisation financière : genèse, coûts et enjeux (1994) réédité en 2004. François Chesnais était également un observateur avisé de l’Amérique latine et de ses crises, ce qui l’a notamment amené à publier en 2002 Que se vayan todos ! Le peuple argentin se soulève. Sa curiosité et son esprit de recherche lui avaient fait saisir très tôt l’importance de lier l’écologie à la question sociale. Ainsi, il n’a jamais abandonné la perspective de dépasser les rapports sociaux capitalistes.

François Chesnais était un militant actif . Il fut en 1995 un des fondateurs de la revue Carré rouge et participa à la fondation du NPA en 2009. Il été un membre actif d’Attac et de son conseil scientifique dès sa création. Il a publié dans les revues d’Attac Grains de sable, puis récemment dans Les Possibles, gardant jusqu’à la fin un regard sans concession.

Les obsèques de François Chesnais auront lieu mardi 8 novembre à 16h, au cimetière du Père Lachaise, Paris 20ème , salle Mauméjean

Jean-Marie Harribey, Dominique Plihon, Claude Serfati

Hommage à François Chesnais.
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NOUS RENDRONS HOMMAGE À NOTRE AMI ET CAMARADE FRANÇOIS HUVÉ, CETTE APRÈS-MIDI AUX ANDELYS. ALEXIS LIRA UN TEXTE EN NOTRE NOM.

28 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

Notre camarade et ami François ne sera plus à nos côtés dans les batailles qui lui tenaient tant à coeur.

François réagissait vivement aux injustices, au mal qui est fait à l'environnement et ses occupants, à tout ce qui sépare les humains des uns des autres, aux formes multiples de domination et d'exploitation et de non-respect de la dignité des personnes.

Profondément humaniste, il avait cette qualité de ne pas séparer l'engagement militant et sa vie personnelle : son engagement était au coeur de sa vie, de son quotidien, de sa relation aux autres.

Quand François nous a rejoints en 2009, il est arrivé dans notre groupe avec son bagage de libertaire humaniste et écologiste, comme un électron libre.

Il a très vite mis son empreinte sur notre collectif, nous impressionnant par sa capacité de travail, sa pugnacité à fouiller les textes officiels préalables aux grands projets, son absence de dogmatisme, par sa volonté de réunir au-delà de notre parti, toutes celles et tous ceux qui aspirent à un monde meilleur, plus sain, plus juste et plus solidaire. Infatigable et passionné, il allait d'un endroit à l'autre du pays pour défendre des causes émancipatrices : un jour à Bure, l'autre à Flamanville, un autre encore à Paris ou à Port Leucate, les km ne l'arrêtaient pas.

 

On a toujours vu François discutant avec tout le monde, curieux de tout, toujours animé par l'envie d'apprendre, d'affiner ses idées, de compléter ses informations et d'échanger avec les autres.

Parfois il s'emportait, haussait le ton, s'enflammait, donnait l'impression qu'il était en colère. Mais il était si attaché à respecter les autres, qu'il s'en rendait compte et reprenait le ton courtois de la discussion.

François était un personnage, un homme hors du commun.

Au nom de mes camarades, je peux dire que nous sommes très heureux de l'avoir rencontré, connu et d'avoir partagé tant d'aventures avec lui.

Il restera dans nos têtes, dans nos coeurs, nous ne l'oublierons pas et nous livrerons les combats à venir aussi en son nom.

Le NPA 27

Notre camarade François Huvé à droite qui prend la parole lors d’une marche pour le climat.

Notre camarade François Huvé à droite qui prend la parole lors d’une marche pour le climat.

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CONTRE LES MÉGA-BASSINES, POUR LE DROIT DE MANIFESTER, EN MANIFESTATION LE 29 OCTOBRE!

27 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

Alors que la mobilisation contre les méga-bassines prend de l’ampleur, la préfecture des Deux-Sèvres a pris la décision d’interdire la manifestation prévue le 29 octobre à Sainte-Soline.

Deux visions antagoniques de l’agriculture s’opposent. Celle de la FNSEA et des grands propriétaires terriens, qui pensent que le productivisme, les cultures intensives, le saccage des sols et des animaux sont une solution. La nôtre, celles des opposantEs, qui considèrent qu’il faut une rupture avec le capitalisme productiviste, pour une agriculture biologique, respectueuse des sols, des nappes, des rivières, des humains et des animaux, autrement dit du vivant.

L’État se place une fois de plus au service de l’agrobusiness. Comme lorsqu’il avait mis sous écoute des membres de « Bassines, non merci ». Comme en mars dernier où des milliers de CRS avaient été déployés pour empêcher les actions du collectif, dont une manifestation rassemblant 7000 personnes. Mais ils n’avaient rien pu empêcher et nous avions pu défiler.

Aujourd’hui encore, nous ne voulons pas céder à la pression. Le droit de manifester existe. Et notre opposition est légitime. L’interdiction de la préfecture, démonstration par l’exemple du cours autoritaire du pouvoir, donne encore plus de raisons de se mobiliser. Des centaines de personnes occupent déjà le lieu de la manifestation et le chiffre va gonfler jusqu’à samedi.

Le NPA réaffirme son opposition aux méga-bassines et son soutien aux collectifs en lutte. Nous condamnons l’atteinte portée au droit de manifester.

Malgré l’interdiction, les militantEs du NPA, comme lors des dernières mobilisations, seront présents le samedi 29 octobre et certainEs sont déjà sur place. 

Philippe Poutou, qui est venu à Épannes et à Saint-Sauvant, qui a rencontré le collectif « Bassines, non merci » à Longré et à Poitiers, sera également présent. 

Toutes et tous ensemble, soyons des milliers contre les méga-bassines et pour affirmer que l’on ne nous enlèvera pas le droit de manifester !

 

Le 26 octobre 2022

CONTRE LES MÉGA-BASSINES, POUR LE DROIT DE MANIFESTER, EN MANIFESTATION LE 29 OCTOBRE!
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INTERVENTION NOTRE CAMARADE SOPHIE AU RASSEMBLEMENT D’ALIZAY DU 22 OCTOBRE.

25 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

Une chose est sûre aujourd'hui. Il faut tout faire pour diminuer la production de gaz à effet de serre. Donc il faut diminuer fortement le volume des trafics en voitures et en camions.

Est-ce qu'avec une 3e autoroute sur le territoire, on en prend le chemin ? Bien sûr que non!

 

Nous avons besoin dans l'immédiat d'une politique des transports radicalement différente :

 

- plus de transports en commun pour nos déplacements du quotidien, pour nous aider à laisser les voitures au garage. Et ces transports en commun seront plus efficaces s'ils sont en libre accès, c'est à dire gratuits. Oui gratuits! c'est à dire financés par les budget transports. Si la gratuité est utile les jours de pics de pollution, elle le sera a fortiori toute l'année.

 

- la suppression du péage d'Incarville pour libérer l'axe de liaison entre la case et la métropole, y faire circuler une flotte de bus suffisante, y favoriser le co-voiturage et l'autopartage. Y diminuer la vitesse. le péage est un verrou qui doit sauter. Sans indemnité ni rachat pour la SAPN, l'autoroute et le péage sont largement amortis. 

 

- développer tous les modes de déplacement dits de mobilité douce, c'est à dire la marche et le vélo. Cela signifie des pistes cyclables en nombre, des parkings et garages sécurisés pour les vélos, des combinaisons vélos-transports en commun.

 

- priorité absolue au fret ferroviaire et fluvial. La Seine pourrait être mieux utilisée avec des travaux aux écluses d'Amfreville sous les Monts. Le fret ferroviaire est à prioriser. Le réseau ferroviaire peut être remis en service et répondre aux besoins de transports et des personnes et des marchandises.

 

- il faut dans le même temps, diminuer impérativement le volume de marchandises transportées, réduire des productions, voire en supprimer. Nous ne pouvons faire comme si la planète n'était pas en surchauffe. Nous ne pouvons faire comme si les ressources n'étaient pas limitées. Un vrai débat démocratique doit nous aider à nous poser les bonnes questions : quoi produire ? Comment ? avec quelles technologies ? Où? Combien de choses inutiles sont transportées dans les camions ? Assez des marchandises qui font 3 fois le tour de la planète avant d'arriver chez nous!

 

Stopper le projet A133-134 est possible, l'exemple de NDDL nous l'a montré. Si la population unie le refuse, nous pourrons gagner. Tous ensemble, citoyen.nes, élu.es, collectifs divers, unissons nos forces.

 

Sophie Ozanne pour le NPA Seine Eure

INTERVENTION NOTRE CAMARADE SOPHIE AU RASSEMBLEMENT D’ALIZAY DU 22 OCTOBRE.
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QUAND ON LUTTE ÇA PAIE...

24 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

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POUR UNE GAUCHE UNITAIRE ET DE COMBAT.

24 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

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TOUS MENDÈSISTES?

24 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

 

La réunion publique de Louviers à l’occasion du quarantième anniversaire de la disparition de Mendès France a été l’occasion d’un spectacle très instructif : les personnalités de droite et de gauche réunies sur la scène ont fait assaut de proclamations de fidélité à l’héritage du grand homme. Mme Terlez, MM.Leroy, Priollaud, partisans de Bayrou-Macron aux côtés de leur nouvel ami  Loncle, président national de la fondation Mendes France, c’est dans l’ordre des choses. Voir le tout nouveau député  Philippe Brun s'afficher avec eux est à la fois révélateur et inquiétant  Le 16 octobre, M. le député aura préféré pour battre le pavé une visite de courtoisie sur une foire à tout et de la marche nordique (activité par ailleurs louable...). Tout un projet politique. Dont acte. Et le maire de Louviers a eu beau jeu de rappeler à celui qui s‘est fait élire sous l’étiquette NUPES que « Mendes ne détestait rien tant que les extrêmes ». Alors, encore une fois, ce rappel historique.

QUI ÉTAIT MENDÈS ?

Louviers, 1930 : un jeune avocat parisien de 23 ans s’installe, bien décidé à faire ce qu’il faut pour prendre le siège de député à la droite. Louviers est une ville industrielle, mais contrairement à sa voisine Elbeuf, les ouvriers ne  commencent à y parler pour leur propre compte qu’avec les occupations d’usines de 36. Il suffit alors de ne pas aller à l’église pour être considéré comme « à gauche». En 1935, à 28 ans, il emporte la mairie. Il est au Parti radical, le grand parti de la bourgeoisie républicaine, laïque et franc-maçonne. En 36, il est réélu député avec la vague du « Front populaire » PS-PCF-PR. Les ministres PR sont là pour rassurer la grande bourgeoisie. Il faudra en effet la déferlante spontanée d’occupations d’usines pour faire peur au patronat et obtenir les 40h et les congés payés, car au programme du Front populaire, il n’y a que « le pain, la liberté, la paix »…

UN PARCOURS HORS DU COMMUN
C’est un homme d’Etat original : contrairement à  de Gaulle ou à Mitterrand, il a (presque) toujours fait ce qu’il avait annoncé. La gauche « raisonnable », celle qui veut toujours prouver à la bourgeoisie qu’elle peut gérer ses affaires, est en mal de grandes figures auxquelles se raccrocher. Après les trahisons des années Mitterrand-Hollande, elle a particulièrement besoin d’icônes. Quitte à arranger quelque peu la réalité.

L’horizon de Mendès, c’est une « République moderne ». Il s’agit de pousser le capitalisme français à se moderniser, en acceptant de passer des compromis avec le syndicalisme raisonnable, à l’allemande, dans le cadre d’un « plan » élaboré démocratiquement. Cela a suffit à le faire détester par les patrons attardés et les bourgeois obtus, en particulier à Louviers. Pourtant, en charge des finances dans le second gouvernement Blum en 38 (celui du reniement des acquis du Front populaire), dans le gouvernement provisoire de de Gaulle en 45 (serrage de vis pour ceux d’en bas), président du conseil pendant 8 mois en 54, « il ne considérait pas le mot rigueur comme un gros mot » pour reprendre un hommage révélateur du style de François Loncle-Bernard Leroy. C’est qu’il défendait avec lucidité les intérêts des secteurs les plus modernes du capitalisme français, et bon nombre de grands patrons le comprenaient très bien. En 54, lors de son élection, il tient fermement à ce que les voix du PCF en sa faveur ne soient pas comptabilisées. Néanmoins, en 8 mois, il met fin à la guerre en Indochine et prend quelques  autres mesures courageuses qui suffisent à le faire tomber.

En 1956, la « gauche » revient au pouvoir après avoir martelé : « la guerre d’Algérie est une guerre imbécile et sans issue ». Le gouvernement Guy Mollet obtient des députés (dont ceux du PCF) des « pouvoirs spéciaux » qu’il utilise non pour faire la paix, mais pour envoyer immédiatement 200 000 appelés du contingent en Algérie.  Manifestations et émeutes des jeunes soldats et des familles ne suffiront pas à enrayer la machine. Pour autant, la spirale de la répression et de la torture ne peut stopper l’élan vers l’indépendance.  Les reniements, les trahisons de la plus grande partie du personnel politique « de gauche » se paiera cher. Mendès, s’il fait partie de ceux qui voudraient bien que l’Algérie reste française, n’est pas prêt à brader ses principes.

En 1958, profitant des émeutes des colons à Alger, de Gaulle  prend le pouvoir à Paris par un coup d’Etat à froid. Le ras-le-bol des familles des jeunes appelés, l’écoeurement devant les promesses non tenues, les trahisons de la gauche « de gouvernement » (G.Mollet et la SFIO soutiennent de Gaulle au début) permettent au général et à ses partisans, organisés de façon très disciplinée et qui ne craignent pas de faire le coup de poing, de s’imposer. L’appel syndical à la grève de protestation est un échec complet. Tel un nouveau Bonaparte s’érigeant en « sauveur de la nation », De Gaulle gagne un referendum, se taille une Constitution qui donne les pleins pouvoirs au président (toujours en vigueur aujourd’hui, le 49-3!), obtient une majorité écrasante de députés à sa botte. Mendès est battu par un inconnu qui arrive avec de gros moyens. C’est Rémy Montagne, gendre des pneumatiques Michelin (on ne lui a pas pardonné l’indépendance de l’Indochine, et donc la perte des plantations d’hévéas). La bonne droite catholique locale se déchaîne : « Voter Mendès France, c’est voter contre de Gaulle, c’est voter contre la France, c’est voter Juif ». Pas bien différent des éructations d’un Le Pen, jeune député d’extrême-droite, lieutenant tortionnaire en Algérie, qui l’interpelle ainsi : « vous cristallisez sur votre personnage un certain nombre de répulsions patriotiques, presque physiques ». Antisémitisme d'hier aussi odieux que celui d'aujourd'hui, au même titre que les discours anti-arabes ou anti-musulmans… Battu, il démissionne de tous ses mandats, considérant que les électeurs l’ont désavoué.. Peu de se prétendus admirateurs seraient capables d’une telle attitude.

TRAVERSEE DU DESERT
Mendès aurait pu composer avec de Gaulle, qui n’attendait que ça. Mais il ne lui pardonnera jamais la façon anti-républicaine dont il est revenu au pouvoir. Avec ses partisans du Parti Radical, il se tourne alors vers ceux qui ont rompu avec la vieille SFIO. Ils ont créé un nouveau parti, le Parti Socialiste Autonome (PSA), ils sont pour la fin de la guerre en Algérie et l’unité d’action avec le PCF. L’adhésion des mendésistes suscite une levée de boucliers, en particulier parmi les militants ouvriers, elle est acquise de justesse et manque de faire capoter l’unification de tous les courants de la « nouvelle gauche » au sein du PSU en 1960. C’est une adhésion du bout des lèvres : « Nous allons, puisque le PSA se réclame du socialisme, donner notre adhésion ou confirmer notre adhésion à une certaine conception de la vie politique moderne ». Une première déclaration très révélatrice d’un positionnement tout à la droite de la nouvelle gauche.


MENDES ET MAI 68

Réélu député à Grenoble en 1966, il joue encore un rôle au plus fort de la grève générale de 68, quand De Gaulle vacille : à la recherche d’une porte de sortie, les « réalistes » du PSU, la direction de la CFDT et  même des gaullistes « de gauche », le poussent à proposer un « gouvernement de transition ». La tentative fait long feu, le PCF n’en veut pas mais fait tout pour faire reprendre le travail après  des accords de Grenelle pourtant hués à Renault Billancourt. De Gaulle reprend la main en organisant des élections législatives. Dans une ambiance de désarroi et de d’espoirs déçus, de revanche aussi de la part des possédants, c’est la déferlante gaulliste, Mendès est battu à Grenoble. En 69, il s’associe à la candidature bien sage du maire SFIO de Marseille Gaston Deferre en 69 (5, 01%),

UN MYTHE BIEN UTILE

Mendès se retire ensuite de la vie politique. A Louviers, dans les années resplendissantes du Comité d’Action de Gauche, personne n’a l’idée de se référer à lui. Le CAG ne compte d’ailleurs dans ses rangs strictement AUCUN de ceux qui ont fait le mendésisme à Louviers. Il faut d’ailleurs  attendre que le sémillant  « radical de gauche » François Loncle soit parachuté  pour que l’on se préoccupe de faire revivre le mythe, et que certains anciens gauchistes désillusionnés se découvrent un nouveau maître à penser.  Mendès France ne concèda à François Loncle qu’une unique photo de ses successeurs à la mairie Ernest Martin et Henri Fromentin, dans sa propriété des Monts. Mais Philippe Brun s’est lui précipité pour s’y faire prendre en photo assis au bureau de son modèle. Tout un programme.….

 

 


 

Jean Effel, caricature dans L’Express, 18 septembre 1958 De gauche à droite : le général Massu (à la tête du Comité de salut public lors de la crise du 13 mai à Alger), Charles de Gaulle, Félix Gaillard (président du Parti radical), Marianne et Guy Mollet (secrétaire général de la SFIO).  Mendès France a eu le courage et la dignité de maintenir son opposition

Jean Effel, caricature dans L’Express, 18 septembre 1958 De gauche à droite : le général Massu (à la tête du Comité de salut public lors de la crise du 13 mai à Alger), Charles de Gaulle, Félix Gaillard (président du Parti radical), Marianne et Guy Mollet (secrétaire général de la SFIO). Mendès France a eu le courage et la dignité de maintenir son opposition

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LA VOITURE ÉLECTRIQUE N’EST PAS LA SOLUTION.

23 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

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NOTRE CAMARADE ET AMI FRANÇOIS HUVÉ EST DÉCÉDÉ.

23 Octobre 2022 , Rédigé par NPA 27

 

 

Notre peine est immense. Défenseur acharné des vieilles pierres et du travail bien fait, sa réputation  professionnelle et son intégrité ne faisaient pas toujours bon ménage avec le monde des affaires : il avait repris l'entreprise familiale de couverture et était perçu, dans le milieu du bâtiment, comme un "traitre à sa classe" disait-il amusé. François a rejoint le NPA dès 2009, avec son bagage de libertaire écolo. Electron libre, il a mis son empreinte sur notre groupe, impressionnant par son étude fouillée des enquêtes dites publiques, par sa volonté de réunir au-delà du NPA celles et ceux qui n'en peuvent plus du capitalisme.   

Actif avec les Déboulonneurs, enthousiaste avec les Gilets jaunes, militant infatigable des batailles contre l'agrobusiness, contre le nucléaire et son monde, il restera le compagnon des chemins parfois difficiles des luttes, le camarade des moments jouissifs des petites victoires, l'ami des instants joyeux d'amitié partagée. Nous continuerons les combats, avec François dans nos pensées.

le NPA 27

Notre camarade François tout à gauche sur la photo.

Notre camarade François tout à gauche sur la photo.

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